Bureau d’informations et de prévisions économiques (BIPE Conseil), Paris, décembre 1990.
Rapport disponible à la bibliothèque du CDU.
Bureau d’informations et de prévisions économiques (BIPE Conseil), Paris, décembre 1990.
Rapport disponible à la bibliothèque du CDU.
L’investissement immobilier a été le moteur de la sortie de crise de l’économie européenne et les bâtiments non résidentiels sont devenus le secteur le plus dynamique du marché du bâtiment et du génie civil dans tous les pays. Il s’agit là d’une mutation majeure qui s’est imposée aux professions du bâtiment qui, depuis des décennies, étaient organisées en fonction de marchés nationaux largement réglementés (logement social et équipements publics).
S’agissant de l’immobilier d’entreprise, l’intervention d’un opérateur français sur un marché étranger relève, a priori, de deux cas de figure :
– il peut s’agir d’un simple investissement dans l’immobilier d’un opérateur disposant de capitaux,
– le deuxième type d’action procède, lui, d’une véritable stratégie d’entreprise. L’opérateur français tente de s’implanter à l’étranger en offrant une compétence particulière (financière, technique, commerciale...) ou globale (ensemblier) pour y exercer son métier de promoteur-constructeur.
Pour éclairer ce domaine particulièrement complexe et extraordinairement diversifié, l’étude s’intéresse à trois pays européens : l’Allemagne Fédérale, l’Espagne et le Royaume-Uni, et tente de mettre en relief les particularités du marché de l’immobilier d’entreprise et de ses mécanismes de financement.
Les trois monographies présentées dans ce rapport ne peuvent cacher leur grande différence de tonalité.
