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Revue de presse regroupant des articles parus sur les thèmes des activités, des pratiques et des processus de projet en 2013
DÉCEMBRE
"L’agriculture péri-urbaine répond à des enjeux forts mais se heurte à des conflits d’usage. Pour établir le dialogue entre acteurs de l’urbanisme et monde des agriculteurs, l’agglomération Orléanaise a mis en place une Charte agricole…"
Urbanisme hors-série n°47, décembre 2013, p41.
"Si le regard sur le périurbain change, qu’en est-il de la pratique de l’analyse territoriale ? Une vingtaine de chercheurs, statisticiens et acteurs locaux ont échangé leurs lunettes et planché au cours d’un atelier de production intitulé « Quels outils d’observation pour identifier et caractériser les campagnes urbaines ? », au Logis du Roy, à Amiens."
Urbanisme hors-série n°47, décembre 2013, p24.
"Adossés à des agglomérations, des régions et parfois même à l’État, les 54 agences d’urbanisme françaises disposent de moyens financiers et humains très différents. Elles font néanmoins face à un besoin commun : depuis la loi Grenelle II, elles ont l’obligation de réaliser un bilan de la consommation des espaces agricoles, boisés et naturels pour les documents d’urbanisme dont elles assument souvent l’élaboration : les schémas de cohérence territoriale (Scot)."
Les Cahiers de l’IAU n°168, décembre 2013, p.33.
"Pour la première fois depuis sa création en 1989, le Grand prix de l’urbanisme sera attribué à une femme, qui recevra des mains de la ministre de l’Ecologie Cécile Duflot le 16 décembre à Paris. Chercheuse, enseignante et praticienne, l’Italienne Paola Vignanò explique sa démarche de projet et confronte les pratiques urbaines en France et à l’étranger."
Le moniteur, 13 décembre 2013, pp.46–51.
"À l’heure où les métropoles occidentales se rêvent en villes vertes et durables, diverses initiatives méritent l’attention des acteurs locaux. C’est en particulier le cas de l’agriculture urbaine, qui représente une réponse locale permettant une exploitation de la nature en ville. Quelles sont alors les conditions pour que cette forme d’agriculture soit valorisée comme un réel projet de territoire ?"
metropolitiques.eu, 16 décembre 2013.
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"Le mode d’occupation du sol d’Île-de-France est mobilisé par différents acteurs, à de multiples échelles et pour divers usages.
Aménageurs, collectivités locales ou bureaux d’études nous ont présenté l’utilisation qu’ils font du Mos, mais aussi l’intérêt et les limites qu’ils y trouvent."
Les Cahiers de l’IAU n°168, décembre 2013, p.51.
NOVEMBRE
"En juillet dernier, le second rapport dédié au bâtiment « responsable » horizon 2020/50 – sous l’initiative du Plan Bâtiment Durable - débouchait sur plusieurs recommandations : penser décentralisé, penser territorial et global, penser contenu et usages, engager dès 2014 des expérimentations multiacteurs intégrant édifices neufs comme rénovés et prenant en compte l’ensemble de leurs cycles de vie… Bravo, mais ce n’est pas trop tôt !
Car depuis déjà longtemps, certains intervenants de l’acte de construire militent dans cette voie."
Architecture Intérieure Cree n°363, octobre-novembre 2013, pp.43-55.
OCTOBRE
"Le marketing territorial et la communication politico-institutionnelle ont fait, depuis plusieurs années, irruption dans le paysage de l’aménagement en y prenant une place toujours plus importante. Cartographies participative, interactive, prospective, en 3D, simplifiée, infographie et datavisualisation sont aujourd’hui des moyens courants pour donner à voir et à comprendre les projets de territoire, pour permettre une plus grande participation citoyenne à leur élaboration, pour favoriser les synergies entre décideurs et techniciens.
Présenter une même carte à des cibles aussi différentes que des élus, journalistes, experts, responsables associatifs, ou des habitants, nécessite désormais de faire appel à des technologies de pointe.
Mais ces techniques comportent des effets pervers bien connus des experts de la communication : en privilégiant souvent la forme sur le fond, elles peuvent aussi vider la problématique traitée de sa substance, s’il n’y a pas d’accompagnement didactique.
C’est pour ces raisons, qu’il est important, aujourd’hui, de faire un point sur les outils graphiques et cartographiques mis au service de l’ingénierie. Il s’agit de montrer la place stratégique désormais occupée par les données et leur gestion dans la gouvernance territoriale aux différentes échelles, du local au régional, de la métropole à la méga-région."
Les Cahiers de l’IAU n°166, octobre 2013.
Au sommaire :
"Urbanisme et démocratie : représenter pour être compris", pp.9-12.
"Le projet urbain : de la carte à la carte postale", pp. 36-39.
"Compétences à la carte et carte des compétences", pp. 44-47.
"La carte sensible, un ancrage dans l’espace vécu", pp. 69-73.
"L’intelligence de la main est collective : dessins d’ateliers", pp. 75-78.
"Simulation et scénarisation comme outils d’analyse prospective", pp.79-83.
"Marketing urbain, territoires et projets", pp. 96-99.
"Immerger les habitants dans la ville de demain", pp. 109-113.
"Regional visioning et community planning", pp. 159-160.
"Représentation et médiation des projets urbains aux États-Unis", pp.161-164.
"Urbanisme participatif : l’atelier, la carte et la méthode", pp. 165-166.
"Constituer un groupement de futurs occupants pour concevoir, financer et réaliser un projet immobilier, ce peut être une définition de l’habitat participatif ou de l’autopromotion. Mais au-delà de la prise en compte des goûts et des besoins de chacun dans l’élaboration du projet, c’est aussi une conception en commun d’un cadre de vie prévoyant le plus souvent une mutualisation d’espaces, de ressources et intégrant des préoccupations écologiques, voire sociales."
Diagonal n°189, octobre 2013, pp.30–33.
"J’ai commencé à travailler il y a 23 ans. Il n’y avait alors pas beaucoup d’ordinateurs. Ils ne servaient qu’au traitement de texte, à peine aux tableurs. Au début, je ne faisais donc que des perspectives à la main et je vous encourage à le faire », lançait le 15 janvier 2013 Catherine Simonet, ‘perswoman’ fondatrice de l’agence Lou Kat, aux étudiants de l’ENSA Strasbourg dans le cadre de la conférence ‘L’image et le projet’."
lecourrierdelarchitecte.com, 10 octobre 2013.
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SEPTEMBRE
"Depuis 2008, année de l’annonce du départ de l’École d’application de l’infanterie, la Ville de Montpellier a mis en place un long processus pour imaginer sa métamorphose, prévoyant notamment une démarche poussée de concertation avec les habitants. La ville remet en cause ses méthodes, recherche des expériences de concertation, s’intéresse à des modes de faire participatifs, avec pour maître mot l’innovation. Il ne s’agissait pas de nier les réalisations passées mais de les replacer dans l’histoire urbaine. Et de faire évoluer les stratégies d’aménagement, de les rendre moins autoritaires.
Et même si Montpellier a eu ces dernières années, des difficultés à inventer un urbanisme post-Georges Frêche, l’ensemble de l’EAI indique que de nouvelles pratiques se fraient leur voie, dans laquelle la population saura probablement occuper sa place…"
Urbanisme, automne 2013, pp. 12-15.
"La Société du Grand Paris a choisi deux groupements composés d’ingénieristes et d’architectes pour l’aménagement de la ligne 15 Sud du Grand Paris Express. Ces groupements devront travailler dans le respect de la charte d’architecture et de design élaborée avec le concours de Jacques Ferrier."
cyberarchi.com, 29 septembre 2013.
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"Il est proposé à tous les acteurs de promouvoir cette démarche. Il est temps de mettre fin à des pratiques désormais incompatibles avec les engagements sociétaux des entreprises, qui entraînent une surfacturation indirecte aux maîtres d’ouvrage, une diminution de la qualité attendue et une qualité de conseil partiale. Parce que ces procédés engendrent deux effets : une concurrence déloyale entre cabinets de conseil en aménagement lors des appels d’offres, et une réduction des capacités d’investissement des industriels ou distributeurs concernés."
rssing.com, 26 septembre 2013.
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"Depuis le 7 mai et jusqu’au 20 octobre 2013, le Centre canadien d’Architecture (CCA), situé à Montréal, accueille l’exposition "Archéologie du numérique", présentant les travaux de Frank Gehry, Peter Eisenman, Shoei Yoh et Chuck Hoberman. Elle revient sur les prémices de l’architecture numérique à la fin des années 1980 et au début des années 1990."
lecourrierdelarchitecte.com, 11 septembre 2013.
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"L’indispensable besoin de mobilité des architectes sur les chantiers a rendu les smartphones et les tablettes numériques indispensables. Comment ces nouveaux outils de travail sont-ils adoptés par les architectes et leurs cabinets ? Quels en sont les usages ? L’UNSFA, Archipad et Cyberarchi ont voulu en savoir plus et lancent une enquête sur le sujet qui sera présentée pendant le congrès de l’UNSFA, début octobre."
cyberarchi.com, 9 septembre 2013.
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"Liaisons Urbaines, programme expérimental de transformations d’espaces publics africains, veut mobiliser les capacités d’innovation locale. Il est prévu pour trois ans au rythme d’une réalisation par année. La première, intitulée "Manger à Porto-Novo", au Bénin, a été inaugurée le 25 janvier 2013.(...) Liaisons Urbaines se présente comme étant un "projet expérimental et contextuel". Il est contextuel , en ce sens qu’il s’inscrit dans la "proximité urbaine" : il porte sur des espaces de taille raisonnable (moins de 100m²), et des aménagements réalisés avec des budgets contraints, dans un temps court, et à l’aide des savoir-faire locaux."
Traits urbains n°62, été 2013, pp.6-14.
AOUT
"Avec plus de 1000 participants réunis chaque année, le festival étudiant Bellastock compte bien s’implanter durablement sur la scène architecturale. En sept ans d’existence, cette plate-forme de recherche a fourni à plusieurs générations de concepteurs en herbe une première expérience constructive."
Ecologik, n°34, août-septembre 2013, pp.14-15.
"Le ministère de l’écologie vient de lancer le site internet Wiklimat. L’objectif de cette plate-forme collaborative est de partager les initiatives en matière d’adaptation au changement climatique. Le site compte déjà de nombreux exemples classés suivant trois critères : la localisation, les thématiques de l’adaptation et les domaines spécifiques (littoraux...). Il est accessible à l’adresse : http://wiklimat.developpement-durable.gouv.fr "
Le moniteur, 2 août 2013, p.10.
JUILLET
"L’opération, à vocation très sociale, a ceci d’inédit et de particulier qu’elle est née du punch sans concession des habitants du quartier Pernety, regroupés pour partie en association : Urbanisme et Démocratie. Udé ! "Nous nous sommes opposés au projet initial" (des constructions très denses sans équipement public), rappelle Jean-Paul Armangau, militant actif de l’association. "Nous avons réussi à la modifier et à préserver le bâtiment du Château-Ouvrier. Et aujourd’hui, il combine ateliers d’artiste et logements sociaux." Depuis, le groupement d’habitants a fait émerger plusieurs projets, tous publics, participatifs et partagés (jardin public des Thermopyles, place Flora-Tristan, café associatif de la place de la Garenne).""
Archistorm, n°61, juillet-août 2013, p.31-33.
JUIN
"Dans ce numéro de Passion Architecture, la rédaction s’est intéressée aux modes de création d’agence. Par transmission, création ex nihilo, exercice à titre individuel ou en société... Après un récapitulatif de ces différents modes d’exercice et d’accès à la profession, vous trouverez dans ce dossier quelques témoignages de confrères."
Dossier de Passion Architecture n°45, juin 2013, pp. 8-9.
"Concevoir un élément de mobilier urbain prenant en compte les usagers et les passants questionne la notion d’usage des objets dans la ville. H élas, les maîtres d’ouvrage et les maîtres d’oeuvre n’ont jusqu’à présent prêté à ces objets qu’une attention limitée, leur demandant surtout d’offrir des fonctions basiques et d’être résistants dans le temps. (...) Mais peu à peu, les mentalités sont en train de changer."
Le Moniteur, Numéro spécial "Innovations 2013", juin 2013.
"L’avènement des logements passifs et autres immeubles de bureaux à énergie positive fait perdre à l’usager l’autorité qu’il avait auparavant sur son bâtiment. En cause, l’accumulation de technologies censées économiser les kWh mais qui peuvent aussi donner à l’occupant le sentiment d’être un gêneur."
Le Moniteur, Numéro spécial "Innovations 2013", juin 2013.
Au sommaire :
"Les bâtiments économes sont-ils trop exigeants pour leurs occupants ?", pp.6-8.
"Des effets secondaires d’une politique des concours", pp.51-54.
"Le concours instrumentalisé par les communicants : bienvenue dans le monde des popstarchitectes", pp. 73-75.
"Les concours forment-ils la jeunesse ?", pp. 70-73.
"Les experts sont-ils à leur place dans les concours ?", pp. 62-64.
"« A bien des égard, le monde numérique fait figure de monde de l’ornement généralisé », estime Antoine Picon, professeur à Harvard. « Présentée au départ comme un synonyme d’une dangereuse dématérialisation, la diffusion des outils numériques a, en fait contribué à remettre en jeu la question de la matérialité », dit-il. Rencontre en trois volets ."
"Aux architectes, devoir d’inventaire"
"Post-histoire de l’architecture : la révolution numérique"
"L’architecture doit rendre perplexe "
Entretien d’Antoine Picon, par Claire Bailly et Jean Magerand, lecourrierdelarchitecte.com, 26 juin 2013.
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"Le 29 mai dernier, Amallia, 4ème acteur national d’Action Logement (ex 1% logement), organisait un colloque professionnel autour du thème « Le logement, autrement ». Objectif : partager les pistes et actions des acteurs de l’économie sociale et solidaire pour penser, produire et proposer du « logement autrement ». Habitat participatif et coopérative d’habitants, usufruit locatif social ou encore colocation solidaire sont autant de solutions innovantes qui ont été mises en avant à cette occasion. (...)
Accompagnés par les structures adéquates, les locataires-coopérateurs participent à la conception, au financement et à la réalisation d’un bâtiment sans passer par un promoteur."
amallia.fr, 11 juin 2013.
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AVRIL
D’Architectures n°216, avril 2013.
"Chaque concours est un projet de recherches potentiel", pp. 42-46.
"Peut-on encore considérer les concours comme des laboratoires de la qualité architecturale ? Pour Shohei Shigematsu, conférencier au colloque que nous avons organisé en mars 2012 à l’Université de Montréal, il y a lieu aujourd’hui de se demander si les concours ne seraient pas plus souvent des formes d’abus de pouvoir que des formes de transparence."
"Des effets secondaires d’une politique des concours", pp.51-54.
"Bien que faisant l’objet de résistances et de critiques, la politique de concours lancée au Québec dans les années 1990 aura également un effet mobilisateur auprès des jeunes architectes. En ce sens, l’impact et ce que nous appellerons les effets secondaires d’une politique des concours sur le développement culturel peuvent parfois dépasser largement celui de la quantité relative des équipements réalisés."
"Le concours instrumentalisé par les communicants : bienvenue dans le monde des popstarchitectes", pp. 73-75.
"Le développement, ces dernières années, du starchitecte system a conduit à une instrumentalisation des concours. La compétitivité entre les villes a entraîné une course à la notoriété. De là à faire passer la volonté d’obtenir un projet juste derrière celle de créer un évènement médiatique, il n’y a qu’un pas, que les services de communication locaux n’hésitent pas à franchir. En invitant un starchitecte, on passe directement du provincialisme à la globalisation, pour le meilleur et pour le pire."
"Les concours forment-ils la jeunesse ?", pp. 70-73.
"En France, l’Etat est un "grand fétiche", comme l’a qualifié le sociologue Pierre Bourdieu. Mais quels sont les agents de ce pouvoir dans l’univers des architectes ? Le sociologue Jean-Louis Violeau a longuement étudié le milieu des architectes. Il s’est notamment intéressé aux concours Europan et aux Albums de la jeunesse architecturale. Il nous montre comment, en France, une profession fortement attachée à l’exercice libéral se structure dès la sortie du diplôme autour d’institutions promotionnelles très liées à l’Etat..."
"Les experts sont-ils à leur place dans les concours ?", pp. 62-64.
"Si l’on considère que la plupart des acteurs engagés dans un concours sont experts dans des domaines particuliers, on peut s’étonner que l’on parvienne, dans la plupart des cas, à formuler un jugement qualitatif équilibré. La joute des expertises se complique désormais avec le recours aux spécialistes de l’environnement : qu’il s’agisse d’individus ou de normes et certifications, les effets pervers de leurs arbitrages déterminants dans les jurys sont de plus en plus dénoncés."
Hors dossier : "Comment éviter d’organiser un concours !", p. 24.
"Le marché semble aujourd’hui déployer des trésors d’imagination pour détourner la construction publique des règles établies pour garantir sa qualité. L’utilisation abusive d’autres formes de procédure d’accès à la commande, comme les marchés à procédure adaptée (Mapa), témoigne de ce type de dérive. Heureusement, les architectes peuvent saisir la Commission des marchés publics du CROAIF. Nous avons demandé à Lionel Carli, président de l’Ordre national, ce qu’il pensait de ces dérives."
"En 2009, l’agence Construire est appelée à la rescousse des indignés de Tourcoing et Boulogne-sur-Mer dont les quartiers sont menacés de démolition. La réhabilitation de ces 90 maisons ouvrières permet de tester la démarche participative exposée dans son manifeste "dénormer le logement social". Avec son porte-parole Patrick Bouchain et de jeunes architectes, elle réinvente la construction collective de l’habitat."
AMC-Le Moniteur n°223, avril 2013, pp. 12-14.
MARS
"Depuis la création du salon Imagina en 1982, l’image virtuelle 3D a investi de nombreux domaines, dont celui de l’aménagement des territoires. Le report de l’édition 2013 du salon Imagina, rendez-vous annuel des praticiens impliqués dans la production et l’utilisation de représentation 3D de territoire, laisse un vide dans le monde professionnel de l’image virtuelle. Cette manifestation était un lieu de confrontation entre des outils numériques en constante évolution et les attentes exprimées par les acteurs publics."
Urbanisme n°388, mars-avril 2013, p. 10.
"La 33ème rencontre nationale des agences d’urbanisme a parfaitement illustré l’effort collectif, du côté de l’Etat comme du côté des agences et de leurs partenaires, pour "changer de lunettes" et inventer les "outils pertinents" de l’action publique dans le futur, dont la nouvelle intelligence territoriale ne manquera pas de s’emparer. Une étape indispensable pour "marquer le territoire" des agences. "
"Actes" de la 33ème rencontre nationale des agences d’urbanisme, Urbanisme, Hors-série n°44, mars 2013.
"Villes numériques : "urbaniser" les technologies ? ", pp. 29-30.
"Comment l’outil numérique peut-il aider ou modifier les pratiques des urbanistes et autres acteurs de la fabrication de la ville ? Retour sur les pratiques, les images et les usages concernant l’organisation d’une ville "augmentée", au fil d’un atelier "connecté"."
"La prospective entre expertise et gestion de l’incertitude", pp.31-32.
"Depuis une vingtaine d’années, la prospective s’affirme comme un instrument protéiforme dans la boîte à outils de la conduite des politiques territoriales. L’atelier consacré à la prospective a mis en exergue la diversité des approches et donc des méthodes à l’oeuvre pour mieux se confronter à la question du futur."
"Au bonheur de (re)chercher ", pp. 44-45.
"Dans vingt ans, que sera la capacité d’agir des agences ? Cette interrogation a pris une lumière particulière à Bordeaux à travers les débats sur la question de la recherche. Petite chronique d’un atelier consacré aux interactions entre les agences d’urbanisme et le monde de la recherche."
"Récit médiatique et communication professionnelle", pp. 48-49.
"L’atelier consacré au thème "Médias, communication et urbanisme" devait relever deux défis : celui d’analyser les difficiles relations des médias grand public et de l’urbanisme et celui de cerner les ambitions de communication des agences. Au final, de vrais échanges avec les journalistes et des pistes à creuser pour des agences plus communicantes."
"Déchiffrer la terra incognita au bénéfice du monde connu", pp. 60-61.
"Procéder à une mise en abîme, plutôt qu’à l’impossible synthèse de plusieurs dizaines d’heures de partage, de débats, de visites sur le(s) terrain(s) de jeu de l’urbanisme, mais aussi de controverse ou de consensus, relève toujours un peu de la performance. Un exercice auquel se sont livrés avec succès Delphine Vincent et Jérôme Baratier."
"Changer de techniques, de méthodes ou de modèles ?", pp. 62-63.
"Les agences d’urbanisme n’ont pas le monopole de l’ingénierie territoriale. Comment les questions de concurrence et de solidarités des territoires se posent-elles à l’échelle des agglomérations, des départements, voire des régions ? Et quelles sont les sources de progrès possibles ? Synthèse des débats de la seconde table ronde conclusive par Pascale Decressac."
" ’Habitat coopératif : de la réflexion à la réalisation’ : tel est le thème de la table ronde de l’Afpa (Association nationale pour la formation professionnelle des adultes) organisée le 2 avril à la Cité de l’environnement, à Saint-Priest. Tous les ans, l’Afpa forme 170000 salariés et demandeurs d’emploi, dont plus d’un tiers dans le BTP, sur des formations qualifiantes ou courtes."
Le Moniteur n°5707, 29 mars 2013, p. 100.
FEVRIER
"En 2010, la Maison de l’architecture de Basse-Normandie s’est vu confier par la Direction régionale des affaires culturelles (DRAC) la mise en oeuvre d’un programme pilote au niveau national : des résidences d’architectes en milieu rural. Retour sur expérience alors que débute la troisième saison."
Traits urbains n°59, février/mars 2013, pp. 57-58.
JANVIER
"Lors de leur colloque quadriennal, les 18 et 19 octobre à Lyon, les Architectes des Bâtiments de France (ABF) ont insisté sur l’importance des politiques culturelles et patrimoniales dans les projets urbains. Culture, patrimoine et projets de territoire ont ainsi été invités, au même titre que l’architecture, aux deux jours de débats, animés par le critique d’architecture François Chaslin. (...) Tous les quatre ans, ces derniers débattent de la production architecturale et urbaine, tout en réaffirmant leur rôle."
lemoniteur.fr, 22 octobre 2012.
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