« Ce numéro s’inscrit à la fois dans la permanence d’une réflexion sur le champ scientifique et ses rapports au « reste du monde » - nécessaire aux niveaux individuel et collectif - et dans l’actualité des débats sur les conditions et les qualités possibles d’un doctorat en architecture. Il vise à contribuer à une veille sur les transformations qui affectent aujourd’hui le travail de chercheur, qu’elles soient idéologiques, disciplinaires mais aussi financières. Qu’il s’agisse de recherche appliquée, impliquée ou prospective, qu’il s’agisse de « recherche-projet » ou de formes plus balisées, l’objectif commun peut s’énoncer comme une production d’intelligence collective. Qu’est-ce qui, aujourd’hui, la rend difficile ? Sur quels éléments peut-elle s’appuyer pour prospérer ? »